1.1.5.(b).11.2.7. baron Félix de Bode
° 10.11.1785 Bergzabern baptisé église St Martin + 10.1848 Karlsruhe
Felix war wohnhaft in der Karlstraße 24 in Karlsruhe. Er wurde am 28.10.1848 auf dem alten Karlsruher Friedhof begraben.
Alten Karlsruher Friedhof
1803 – Secondlieutenant in der Leib-Grenadier-Garde :
Félix de Bode débute sa carrière en 1800 comme page et est nommé en 1803 sous-lieutenant au sein de la Leib-Grenadier-Garde, instaurée en mars 1803 et dénommée « 1. Badische Leib-Grenadier-Regiment Nr. 109 ».
Au sein de l’armée badoise, ce régiment occupait une place prépondérante ; il était habituellement commandé par le grand-duc ou le margrave en personne et sa fonction principale consistait à monter la garde au Palais de Karlsruhe [illustration ci-dessous].
A partir de 1806, le grand-duché de Bade publiera annuellement une « Grossherzoglisch Badische Staats- und Verordnungsblat » détaillant l’ensemble des actes officiels (lois, ordonnances, registres, nominations, promotions, décorations, etc.) se rapportant à l’administration de l’Etat.
Un « Namen-Register zum Regierungs-Blatt » indique le nom des citoyens concernés par l’un ou l’autre de ces actes. Ainsi en est-il pour Félix de Bode. On peut donc suivre les différentes étapes de sa carrière militaire, à partir de 1806 jusqu’en 1837, année de sa mise à la pension :
1808 – Premierlieutenant :
1809 – StabsKapitän :
1813 – KompagnieSchef :
1814 – Ritter des Karl Friedrich Verdienstordens und des russischen Wladimir-Ordens :
Une décoration octroyée sur proposition de Wilhelm de Bade :
1821 – Major im InfanterieRegiment „Großherzog“ :
1826 – Ritter des Zähringer Löwen :
1837 – als Obrist pensioniert in Karlsruhe :
Ces évenements liés à la carrière militaire de Félix de Bode sont complétés par les citations reprises dans les souvenirs de campagne de Wilhelm de Bade (1792-1859) – aussi appelé Graf von Hochberg – dans l’ouvrage intitulé « Dankwürdigkeiten ».
Fils de Charles-Frédéric de Bade et de Louise Caroline de Hochberg, Wilhelm de Bade [illustration ci-contre] avait treize ans lorsque le grand duché de Bade, comme certains autres États allemands, dut s’allier à la France napoléonienne. Ce n’est qu’à partir de 1814, lors de la campagne contre la France que Wilhelm de Bade rejoindra les troupes alliées et sera chargé de diriger le siège des forteresses de la Basse-Alsace.
De loin la plus sanglante de toutes, la bataille de Leipzig (16-19 octobre 1813), appelée également « bataille des Nations » par le nombre d’Etats concernés, se clôture par une défaite majeure des armées napoléoniennes.
Grâce à ses alliés autrichiens, russes et suédois, la Prusse écrase l’armée française au sein de laquelle combattent de nombreux Allemands dont fait partie … Felix de Bode ! Il est Hauptmann dans le régiment badois von Hochberg, faisant partie d’une division franco-allemande et commandée par le général français Pierre Margeron.
Où l’on retrouve le Hauptmann von Bode grièvement blessé dès premier jour de la bataille, le 16 octobre 1813, comme le relate le commandant de son régiment régiment Wilhelm von Hochberg :
Alors que Félix de Bode est hors de combat, deux évenements vont provoquer l’indignation côté français : tout d’abord, la défection des troupes saxonnes au milieu de la bataille et ensuite la défection en dernière minute du corps badois qui laisse entrer le 19 octobre les chasseurs prussiens dans la ville par la porte de Grimma [illustration ci-dessous], à la poursuite des Français !
Le témoignage d’un officier de l’époque permet de comprendre ce retournement :
« Je me souviens que, lors des missions que j’eus à exécuter auprès de maréchaux ou de généraux qui avaient sous leurs ordres des détachements allemands, j’écoutais les conversations des officiers allemands et je les entendais déclarer que leur honneur et leur conscience ne leur permettaient pas de continuer à se battre contre leurs compatriotes et de soutenir plus longtemps la domination française sur l’Allemagne. »
Et où l’on constate avec surprise que le plus jeune frère de Félix, Louis Léon (plus tard Lev Carlovitch) est officier du côté russe dans l’Etat-Major du général prince Pierre de Wittgenstein [illustration ci-contre].
Aucune allusion n’est faite sur cet étrange situation au sein de la fratrie familiale et on lira dans les Mémoires de Lev Carlovitch la joie des deux frères (ex-adversaires ?) de se retrouver peu de temps après la bataille de Leipzig :
« Nous eûmes plusieurs affaires plus ou moins sanglantes, dont Bautzen la plus meurtrière, celle de Leipzig la plus décisive. En entrant par la porte de Leipzig, je rencontrais les troupes de Bade et nommément le régiment de la Garde où mon frère Félix servait. Je demandai après lui un de ses camarades, il me dit que le Baron avait été grièvement blessé d’un coup de feu à travers l’estomac. Je m’informai de la demeure et entrai en ville, l’ennemi sortait par la porte opposée, …
Caricature illustrant la « Retirade von Leipzig » des troupes françaises
… l’Empereur arriva de suite avec les Princes, les Maréchaux et de nombreuses suites.
Dès que je pus me retirer, je me mis à la recherche selon l’indication donnée à trouver la rue et la maison que devait occuper mon frère, mais quel fut mon désappointement, il n’avait fait qu’appliquer un simple appareil à la blessure, s’était jeté sur son cheval et avait suivi l’armée battue. »
Sur proposition de Wilhelm von Hochberg, la « conduite exceptionnelle » de certains officiers durant la bataille de 1813 mérite des décorations :
« Nous poursuivîmes l’armée française jusqu’au Rhin où nous nous arrêtâmes, » continue Lev Carlovitch dans ses Mémoires, « à Karlsruhe, je trouvais mon frère dans son lit, on
lui avait extrait la balle ; sa femme venait de lui avoir donné une fille [Amalie, née le 10 novembre 1813 – illustration ci-contre] dont je fus le parrain. Mon frère se remit bientôt et dès qu’il put se lever de son lit nous fîmes le baptême.
(…) Enfin il fallut songer au retour en Russie et je me mis en route. Mon frère Félix m’accompagna à plusieurs stations, nous nous quittâmes le coeur gros, je ne pensais point que c’était la dernière fois que je vis ce bon, loyal Félix. »
Une autre rencontre inattendue entre les deux frères mérite d’être contée.
Après que la Finlande ait été officiellement annexée à l’empire russe (octobre 1809), le général Fabian Steinheil est nommé gouverneur général de Finlande (mars 1810) et Louis Léon de Bode (Lev Carlovitch) lui est attaché comme aide de camp.
Lev Carlovitch de Bode – aide de camp du général Fabian Steinheil
Dans ses Mémoires, Lev Carlovitch raconte une anecdote amusante, alors qu’il est en mission auprès du chancelier Nicolas Petrovitch Roumantziev à Saint Pétersbourg :
C’est dans le cabinet de ce dernier que m’advint une singulière rencontre. Descendu devant son hôtel, je me fis aussitôt annoncer au chancelier comme arrivant de Stokholm avec des dépêches d’une haute importance. L’officier, chargé d’annoncer le monde, me regarda d’un air de surprise qui me frappa. Cependant, lui ayant décliné une 
seconde fois mon nom et ma mission, il se décida enfin à m’annoncer et je fus aussitôt introduit.
Je remis mes dépêches au chancelier, mais hésitais à lui remettre verbalement le rapport dont j’étais chargé, voyant un très beau jeune militaire en uniforme étranger debout près de lui. Le Comte [illustration ci-contre] reçut gracieusement mes dépêches et me dit à ma très grande surprise : « Nous parlerons aussitôt d’affaires, mon jeune ami, mais avant laissez moi jouir d’une scène fort intéressante. Tenez, embrassez ce jeune officier ; c’est une très bonne connaissance à vous et la rencontre ici chez moi est tout à fait piquante. »
Je fixai le jeune militaire qui se jeta dans mes bras, me nommant de baptême. Je n’osai plus douter : c’était mon frère Félix. Nous ne nous étions pas vus d’environ dix à douze ans, il était devenu un des plus beaux jeunes gens de son temps. Il m’expliqua en peu de mots qu’il avait été expédié par la cour de Bade pour annoncer l’avènement d’un Grand-Duc ou d’un mariage, je ne me souviens pas trop, qu’il arrivait la veille et qu’il n’y avait pas dix minutes qu’on l’avait introduit chez son Excellence.
Le 19 octobre 1813, alors que Lev Carlovitch de Bode faisait mouvement pour entrer avec les forces russes de Wittgenstein dans Leipzig par la porte de Grimma, pensait-il y retrouver son frère Félix, officier au sein du régiment badois dont la mission était de défendre – initialement – l’entrée de la ville par la porte de Grimma ?
Campagne de Russie – Passage de La Bérézina (1812) :
En 1812, Wilhelm von Hochberg est Commandeur du corps badois durant la campagne de Russie. Lors de la retraite des armées de Napoléon, il est chargé de couvrir avec d’autres corps allemands et polonais le passage de la Bérézina.
Passage de la Bérézina – aquarelle de Fournier
Si la « Badische Staats- und Verordnungsblat » de Karlsruhe ne signale sur cette période que les incidents majeurs ainsi que les morts glorieuses de certains gradés, rien n’indique que Félix n’ait pas pris part au combat. Il est piquant de constater qu’au même moment et au même endroit son frère Lev Carlovitch – il est dans le camp russe – réussit par surprise à faire prisonnier [illustration ci-dessous] ce qui restait de la division du général français Partouneaux, exploit à lire par ailleurs dans ses Mémoires « A mes chers enfants » !
x 21.2.1812 Hélène Lauer
+ 10.1861
Tochter des Rentiers Friedrich Lauer [illustration ci-dessous]. Sie wurde auf dem alten 
Carlsruher Friedhof begraben. Friedrich Lauer war ein badischer Unternehmer und Politiker. Lauer übernahm 1816 die Leitung einer Krapp-fabrik in Mannheim. Von 1831 bis 1841 war er Abgeordneter der Zweiten Kammer der badischen Landstände und 1850 im Erfurter Parlament. Von 1850 bis 1862 gehörte er als erster Kaufmann der Ersten Kammer in Baden an. Von 1844 bis 1864 war Lauer Präsident der Mannheimer Handelskammer. Er gründete die Mannheimer Dampf-schleppschifffahrts-Gesellschaft und die Badische Assekuranz-Gesellschaft. Die öffentliche Grünanlage Lauersche Gärten im 1829 von ihm angelegt, trägt seinen Namen fort.
1.1.5.(b).11.2.7.1. Amalie Marie Luise Julie Freiin von Bode
° 10.11.1813 Karlsruhe + 19.5.1840 Karlsruhe
x 7.10.1834 Carlsruhe Rudolph Joseph Carl Graf von Hennin
° 5.10.1806 Freibourg im Breisgau + 3.5.1882 Hecklingen
Er war ein Verwaltungsjurist im Großherzogtum Baden. Graf Hennin studierte Rechtswissenschaft an der Albert-Ludwigs-Universität Freiburg und wurde 1824 im Corps Rhenania Freiburg aktiv. Er wechselte an die Georg-August-Universität Göttingen, wo er 1825 zu den Stiftern des Corps Bado-Wirtembergia gehörte. Er wurde 1832 Amtsassessor in Kenzingen, 1834 Kammerjunker im Schloss Baden, 1836 Stadtamtmann in Karlsruhe und 1838 Kammerherr. 1841 kam er an das kurpfälzische Hofgericht in Mannheim. Als Stadtdirektor wurde er 1850 nach Rastatt und 1854 nach Mannheim versetzt. Großherzog Friedrich I. ernannte ihn 1860 zum Mitglied der Ersten Kammer der Badischen Stände-versammlung, zu deren 2. Vizepräsidenten er gewählt wurde. 1867 trat er wegen eines Augenleidens vorzeitig in den Ruhestand.
x (b) 27.1.1845 Henriette von Freiin Roggenbach
1.1.5.(b).11.2.7.1.1. Clothilde Auguste Friederike Gräfin von Hennin
° 30.7.1835 Carlsruhe + 26.5.1850 Kientzheim (Alsace)
Ecolière au Sacré Coeur de Kientzheim [illustration ci-dessous] : Maison de campagne construite vers le milieu du 18e siècle pour le commissaire royal des guerres, Jacques Schiele, qui en était alors propriétaire. En 1839 la congrégation du Sacré-Coeur acheta la propriété et fit faire d’importants travaux de construction. L’établissement servit de pensionnat, d’école pour filles et, en 1859, d’orphelinat. Il fut fermé en 1873 et servit de maison de retraite et de convalescence. Pendant la 1ère guerre mondiale, il abrita un hôpital militaire. L’école des soeurs rouvrit ses portes en 1919. Elle servit à nouveau d’hôpital militaire en 1939. Entre 1940 et 45, elle abrita une école de filles nazie. Le pensionnat des soeurs de la congrégation du Sacré-Coeur, qui fut rouvert après les restaurations consécutives à la guerre, ferma définitivement ses portes en 1982.
1.1.5.(b).11.2.7.1.2. Théodore Félix Peter Rudolph Freiherr von Hennin
° 23.8.1836 Baden-Baden + 24.11.1863 Mannheim
1.1.5.(b).11.2.7.1.3. Klementine Sophie Amalie Felicia Gräfin von Hennin
° 17.4.1840 Karlsruhe + 4.4.1921 Schloss Biengen [illustration ci-dessous + armoiries] bei Bad Krozingen
Ehrendame des Königlich bayerischen Theresien-Ordens
x 26.9.1860 Hecklingen im Breisgau Maximilian Joseph Karl Freiherr von Flotow
° 8.6.1825 Augsbourg + 1.8.1873 Görz (Krain)
Königlich bayerischer Kämmerherr und Major a. D. ; fils de Georg Friedrich Karl Christian Helmut Freiherr von Flotow, Königl. bayerischer Kämmerer und General der Kavallerie a. D. & Sophia Magdalena Josepha Freiin von Würtzburg.
Ehemaliges Hennin Schloss Hecklingen mit Blick zur Burgruine Lichteneck
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1. Théodore Fréderic Henri Freiherr von Flotow
° 6.3.1862 Speyer + 31.3.1937 Frankfurt am Main
Königlich preussischer Kammerherr, Hofchef des Hofhaltung des Prinzen Alexander Friedrich von Hessen, Hauptmann a. D.
x 13.7.1903 Baden-Baden Caroline Grunelius
° 8.4.1862 Mulhouse + 29.5.1944 Reichshofen (Alsace)
x (a) 7.6.1884 Kolbsheim Charles Jean Frédéric Kessler
Her father Carl Alex Grunelius, owner of Schloss Kolbsheim in Alsace, was a cousin of the Grunelius family of Frankfort. The Grunelius family were descended from Johannes Grunelius, Pastor at Friedberg in Hesse (1578-1611) ; later generations of the family were textile manufacturers at Frankfort.
Situé à 15 km au Sud-ouest de Strasbourg, le château de Kolbsheim constitue avec ses jardins en terrasse à la française un ensemble unique dans sa région. Depuis 1874, il appartient à la famille Grunelius qui ouvre fréquemment les portes du domaine aux visiteurs.
Château de Kolbsheim
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.1. Friedrich Helmut Konstantin Moritz Georg Freiherr von Flotow
° 31.4.1904 Frankfurt am Main + 15.7.1972 Hannover
Diplom-Ingenieur
x 21.8.1937 Hannover Mareile Meyer
° 22.8.1912 Hannover + 23.2.1994 Hannover
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.1.1. Christina Freiin von Flotow
° 17.5.1939 Hannover
x 2.1.1972 (div 1977) Dr med. Wilhelm Hatger
° 23.8.1934 Neuenhaus + 4.1986
Kinderarzt
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.1.2. Wolfgang Friedrich Georg Theodor Freiherr von Flotow
° 20.5.1940 Hannover
Baron von Cornberg (adopté) ; Herr auf Biengen bei Bad Krozingen ; Diplom-Ingenieur, Architekt. Heute verwaltet Wolfgang Freiherr von Cornberg Freiherr von Flotow, ein Neffe Wilfrieds, gemeinsam mit seiner Frau und den Kindern das Anwesen – eine Aufgabe, die nicht immer leicht ist. Umso größer ist der Dank an die Familie, ohne die die Ausstellung nicht hätte realisiert werden können. « Wir hatten schon länger die Idee, etwas über das Schloss zu machen », erklärte Schmidtobreick. « Also haben wir uns an Frau von Cornberg gewandt und gemeinsam überlegt, was wir machen könnten. » So sei die Schlossherrin kurzerhand selbst auf den Speicher gestiegen und habe dort nach interessanten Ausstellungsstücken gesucht.
Familie von Cornberg
x 1999 Bad Krozingen Noëlle Grunelius
° 1961 Paris und dort aufgewachsen
Tochter von Michaël Grunelius & Monique Isabelle Precheur
x (a) 1.5.1984 (div 1992) Massachusetts, Cambridge Robert Bennett.
« Ich wohne mit meinem Mann Wolfgang von Cornberg seit 1999 in Biengen. Wir haben 3 gemeinsame Töchter. Meine beiden erwachsenen Söhne aus erster Ehe, 29 und 27, leben in den USA. Mittlerweile bin ich nicht nur 5-fache Mutter sondern auch 3-fache Großmutter. Von 1981 bis 1999 habe ich in den USA gelebt und zunächst an der Boston University Mathematik, Geschichte und International Relations studiert. Diverse Lehrtätigkeiten (Französisch und französische Kultur) schlossen sich für mich in den USA.
Ich habe dort von 1987 bis 1999 in Bangor High School, at the University of Maine, at the University of New Hampshire Elderhostel und mit „homeschooled“ Kindern gearbeitet. Seit ich hier in Biengen wohne, bin ich vor allem Mutter und Hausfrau. Nebenher unterstütze ich meinen Mann in der Verwaltung des Schlosses. Ehrenamtliches Engagement ist mir wichtig und war immer ein Teil meines Lebens : Elternvertreterin, Pfadfindergruppenkoordinatorin, Mitglied im katholischen Kirchen-gemeinderat in den USA ; Kindergartenvertreterin in Biengen, Schulvertreterin im Haus Tobias (Schule für Seelenpflegebedürftige Kindern), Schulvertreterin und Mitglied der Schulkonferenz des Deutsch-Französischen Gymnasiums in Freiburg. »
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.1.2.1. Isabelle von Cornberg von Flotow
° 2001
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.1.2.2. Constance von Cornberg von Flotow
° 2003
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.1.2.3. Emma von Cornberg von Flotow
° 2005
Isabelle, Constance et Emma von Cornberg
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.1.3. Andreas Freiherr von Flotow
° 1.4.1954 Hannover
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.2. Hans Maximilian Ludwig Franz Freiherr von Flotow
° 17.5.1905 Frankfurt am Main + 6.9.1957 Bad Hombourg
x 15.1.1945 Rosemarie von der Groeben
° 18.7.1923 Hannover
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.1.2.1. Sebastian Hans Guido Friedrich Freiherr von Flotow
° 15.7.1951 Heidelberg
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.2. Sophie Magdalene Clotilde Konstance Freiin von Flotow
° 6.1.1866 Munich + 7.2.1951 Schloss Biengen
x (a) 26.5.1888 Vienne Franz von Tessedik-Turze-Pole
+ 29.11.1893 Turze-Pole
x (b) 24.7.1902 Biengen Franz Anton Joseph Freiherr von Neveu zu Windschläg
° 22.10.1853 Freiburg im Breisgau + 29.7.1918 Biengen
Joseph von Neveu, genannt « d’r Franzele »
Einer der berühmtesten und wohl auch berüchtigtsten Schlossherren war Franz Anton Joseph Freiherr von Neveu, genannt « d’r Franzele », ein großherzoglich-badischer Kammerherr und preußischer Leutnant, der noch heute als Breisgauer Original nicht nur vielen Biengenern in Erinnerung ist. Franzele, Inbegriff südbadischer Treuhergzeit und anekdotenumwitterte Gestalt, unter anderem wegen der unglaublichen Fassungskraft seines Magens, bewohnte das Schloss von 1889 bis zu seinem Tod im Jahre 1918.
Unzählige Geschichten gebe es übers Franzele zu erzählen, weiß Schmidtobreick. So kam es um 1900 auf einem Hofball im groß-herzoglichen Schloss in Karlsruhe zu einem Aufeinandertreffen zwischen Franzele und Großherzogin Luise (Tochter des Kaisers Wilhelm II.). Die Großherzogin fragte neugierig : « Stimmt es, Herr Baron, dass Sie sich zu verloben gedenken? Ich habe davon gehört. » Franzele antwortete : « Ja, ja, Kö’ Hoheit, i bin verlobt, mer heiraten bald, un e Kind habe mer au scho. » Daraufhin soll sich die Großherzogin empört abgewendet haben, denn natürlich wusste sie nicht, dass sich Franzele mit der Witwe Sophie von Flotow verlobt hatte, die eine Tochter mit in die Ehe brachte.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.2.(a).1. Isabella von Tessedik
° 3.2.1892 Turze-Pole + 5.5.1986 Biengen
Daughter of Franz von Tessedik and Freiin Sophie von Flotow ; adoptée par le baron de Neveu zu Windschläg. En 1974, elle adopte son neveu Wolfgang von Flotow et l’institue héritier de Biengen.
Château de Biengen
Besagte Tochter, Isabella von Tessedik, heiratete als erwachsene Frau Wilfried von Cornberg und verwaltete zusammen mit ihrem Gemahl das Biengener Schloss bis zum Mai 1972, nachdem es zwischenzeitlich noch die Landwirtschaftliche Berufsschule beherbergte (1952 bis 1966). Die Ehe von Isabella und Wilfried blieb kinderlos, sodass das Ehepaar sehr viel Zeit mit seinen teils recht ungewöhnlichen Haustieren verbrachte. So beherbergte das Schloss nicht nur Katzen, sondern auch einige Affen. Und auch sonst waren die von Cornbergs keine gewöhnlichen Schlossherren. So ließ Isabella von Cornberg im hohen Alter ihre Katzen in einem Körbchen an einem Seil in den Schlossgarten hinunter. Auf demselben bewährten Weg beförderte « Frau Baronin » auch ihre Einkäufe.
x (a) Ludwig Wilhelm Bruno von Helmstatt
° 1876 + 1915
x (b) 18.1.1919 Freiburg Wilfrid Freiherr von Cornberg
° 3.5.1893 Langhennersdorf + 24.5.1972 Biengen
Sie adoptierte 1974 ihren Grossneffen Wolfgang Freiherr von Flotow und setztze ihn zum Erben von Biengen ein. Heute verwaltet Wolfgang Freiherr von Cornberg Freiherr von Flotow, ein Neffe Wilfrieds, gemeinsam mit seiner Frau und den Kindern das Anwesen – eine Aufgabe, die nicht immer leicht ist.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3. Amalie Sophie Henriette Freiin von Flotow
° 10.5.1869 Landshut (Niederbayern) + 9.12.1945 Schloss Biengen
Dame de l’Ordre de Thérèse de Bavière
x 19.8.1890 Görz Dionys Craigher Freiherr von Jachelutta
° 25.3.1840 Trieste + 4.3.1919 Florence
Sohn von Jakob Nikolaus baron Craigher von Jachelutta & Antonie Nusterer. Ferenc Graf von Egger, der im Jahre 1890 das Landgut « Schloss Matzenau » erwarb, verkaufte es bereits 1893 an Dionys Julius Franz Freiherr Craigher von Jachelutta weiter.
Vorderansicht mit Park – August 2012
Dionys, der einzige Sohn des Dichters und Diplomaten Jacob Nicolaus Craigher de Jachelutta, war seit 1890 mit Amalie Freiin von Flotow verheiratet. Es ist nicht bekannt, ob die junge Familie hier wohnte und ob ihre am 15. Juni 1894 geborene Tochter Carla auf dem Gut die Kindheit verbrachte. Im Jahre 1900 verkauften die Craighers das Landgut an Karl Friedrich Franz Matzenauer Graf von Matzenau. Das Schloss Matzenau ist ein in der ersten Hälfte des neunzehnten Jahrhunderts errichtetes Bauwerk und eines der seltenen Belegstücke für klassizistisches Architekturschaffen in Slowenien. Das ruinöse Herrenhaus steht inmitten eines verwilderten Parks, am Ortsrand des Dorfes Prosenjakovci, in der Gemeinde Moravske Toplice in Slowenien.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.1. Siguna Johanna Freiin Craigher von Jachelutta
° 25.4.1893 Viktring (Kärnten) + 11.11.1963 Fai (Prov. Trient)
Adopte sa nièce Gabrielle Unterrichter et ses enfants.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2. Carla Antoinette Freiin Craigher von Jachelutta
° 15.6.1894 Cividale del Friouli + 5.2.1973 Trente
x 21.7.1921 Mezzolombardo Eugenio Karl Franz Sales Valentin Freiherr Unterrichter von Rechtenthal
° 16.7.1876 Mezzolombardo + 23.8.1960 Schloss Fai (Mezzolombardo)
MinSekr., Rittmeister a. D. – Herrn und Landmann in Tirol und Kärnten
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1. Gabriella Maria Gisella Freiin Unterrichter von Rechtenthal
° 10.6.1922 Altmetz (Mezzolombardo)
x 1953 Karl Hanak Freiherr Craigher von Jachelutta
° 12.3.1914 Wien + 18.5.1974 Karlsruhe
Fils de Karl Hanak & Theresa Leckel ; adopté par Siguna de Craigher
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.1. Roland Haakon Theodor Filotheos Freiherr de Craigher von Jachelutta
° 6.5.1954 Verona
x Gisela Frank
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.1.1. Michaël Freiherr de Craigher von Jachelutta
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.1.2. Marc Freiherr de Craigher von Jachelutta
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.1.3. Mathias Freiherr de Craigher von Jachelutta
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.2. Helmut Freiherr de Craigher von Jachelutta
° 11.1.1956 Athens [photo ci-contre]
Dr. Phil. Stuttgart
x Doris NN
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.2.1. Gertrud Freiin de Craigher von Jachelutta
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.2.2. Benedikt Freiin de Craigher von Jachelutta
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.2.3. Daniela Freiin de Craigher von Jachelutta
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.2.4. Carola Freiin de Craigher von Jachelutta
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.3. Ingrid Carla Elisabeth Therese Maria Freiin de Craigher von Jachelutta
° 27.06.1957 Athens
x (a) 1978 Poona (Inde) (div) Hugh van Skyhawk
° 1949
x (b) 2000 Heidelberg Andreas Hahn
° 1969
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.3.(a).1. Ben van Skyhawk
° 1983
Ben Van Skyhawk ist Fotograf mit Sitz in Mannheim. Als Autodidakt ist er 2003, nach dem Abitur, unmittelbar in den Beruf eingestiegen. Er betreibt Werbefotografie mit Schwerpunkt People für zahlreiche Agenturen und Direktkunden aus der Region und darüber hinaus. « Vom C-HUB verspreche ich mir Möglichkeiten, neue Kontakte zu knüpfen. Mir ist es wichtig, in einem kreativen Umfeld an meinen Aufträgen zu arbeiten. Die Hafenstraße hat sich für meine Bedürfnisse zum besten Standort in Mannheim entwickelt. Das C-HUB wird, mit schlichtem Design und moderner Infrastruktur, ein Hingucker für alle aus der Branche.“
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.1.3.(a).2. Luca van Skyhawk
° 1989
Consultant – Auditing/accounting, taxes, controlling and restructuring. Learning and understanding the economic relationships that weave themselves through the globalized world of business, in order to gain experience in the analysis of markets and to attain insights into their structures and mechanisms. Learning techniques of leading and managing a business in the recent world. Being able to be conducive to create better ways and methods of doing business and contributing to the economic wealth of our nation. The international world of sciences is forced to provide enhanced market policies and regulations on domestic and global levels – especially for the banking sector, and for global enterprise managementContributing to these interesting and challenging tasks is my main goal for today and the future.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.2. Hans Ferdinand Maria Valentin Dionys Freiherr Unterrichter von Rechtenthal
° 16.4.1924 Mezzolombardo
x (a) 5.7.1952 Garda (div) Irma Edle Neubacher von Steinhaus
° 26.11.1919 Rovereto + 2004
x (b) 29.12.1972 Schruns (Montafon) Gerda Pfeiffer
° 1942 Schruns
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.2.(a).1. Maximilian Alfred Franz Freiherr Unterrichter von Rechtenthal
° 28.6.1953 Verona
Forstinspector
x (a) 1953 Verona (div) Marzia Cavicchiolo
° 29.4.1953 Verona
x (b) Mariarita Loner
° 4.12.1957
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.2.(a).1.(a).1. Erich Freiherr Unterrichter von Rechtenthal
° 7.2.1975 Verona
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.2.(a).1.(a).2. Richard Eugen Freiherr Unterrichter von Rechtenthal
° 6.5.1978 Sterzing
Il dr. Unterrichter si è laureato in Psicologia all’Università di Padova e specializzato in Psicoterapia a Milano con lode ; Sociologia all’Università di Trento. Durante gli anni padovani ha collaborato con il famoso prof. Agostino Racalbuto da cui ha potuto apprendere non solo la teoria ma anche i metodi della psicologia clinica operativa. Psicologo per A.P.S.P. (Aziende Provinciali Servizi alla Persona) della provincia di Trento supervisore di psicologi, psicoterapeuti e di gruppi operatori socio sanitari ; libero professionista a Trento e Milano.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.2.(a).2. Maria Alexandra Freiin Unterrichter von Rechtenthal
° 15.12.1956 Verona
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.2.(b).3. Rainer Freiherr Unterrichter von Rechtenthal
Fils adoptif
x Verena Palwein
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.2.(b).3.1. Tamara Unterrichter Freiin von Rechtenthal
° 6.7.1999 Innsbruck
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.3. Elisabetta Margherita Freiin Unterrichter von Rechtenthal
° 13.9.1925 Altmetz (Mezzolombardo)
Fami. tirolese, resid. in Alto Adige, trentino ed Austria. Ebbe con dipl. imperiale d. d. Praga 10.8.1575 conferma dell’antico st. ed assunzione nel nesso feudale dell’Impero.
x (a) Donald Trayler
° 7.6.1923 Großbritannien
x (b) 9.3.1970 Bruxelles Giuseppe Comte Cancellario d’Alena
° 3.6.1909 Campobasso + 1.1.1985 Loreto (Italie)
Chef de cabinet à l’Euratom en Belgique (1965)
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.3.1. Carlos Vanderlei (fils adoptif)
° 20.5.1967 Recife
Priester M.d.F., Pfarrer in S. Leonardo, Montefollonico (Siena) ; fürht den Namen « Unterrichter de Melo » (Eltern : José de Melo & Caetana Suez de Azevedo)
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4. Guliana (Lily) Maria Freiin Unterrichter von Rechtenthal
° 11.10.1930 Mezzolombardo
x 1955 Dr Jano Lo Bello
° 1931 Udine
Prof. Univ. Pisa & Ponta Grossa (Brasil). Prés. Ass. Internat. Implantologie.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4.1. Lino Lo Bello
° 1956
Laurea in Medicina e Chirurgia – Univ. Federico II di Napoli ; Specializzazione in Anestesia e Rianimazione, Univ. Federico II di Napoli ; Odontoiatra ; Conferenziere in Congressi nazionali ed internazionali di Implantoprotesi Orale ; Coautore di letteratura in Implantoprotesi Orale ; Iscrizione albo Ordine dei Medici ed Odontoiatri di Trento ; già consigliere della Commissione Odontoiatrica dell’Ordine dei Medici di Trento (3 mandati).
x Lauredana Z. de Zozszi
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4.1.1. Sebastiano Lo Bello
Laurea in Medicina e Chirurgia – Univ. di Siena ; Specializzazione in Odontoiatria e Protesi dentaria, Univ. di Padova ; Postgraduate stage, Univ. di Innsbruck ; Già Professore incaricato di Chirurgia Orale nella Sc. Di Spec. Clin. Odont. Univ. di Pisa ; Autore dei volumi “Implantologia Orale” e “Implantochirurgia Orale” ed. Piccin – Padova ; Prof.ben. facoltà Statale di Odontologia Univ.di Nova Friburgo-Rio de Janeiro (Brasil) ; Prof. h. c. facoltà di Odontologia di Caxia- Rio de Janeiro (Brasil) ; Commenda della Repubblica Italiana per meriti scientifici ; Membro onorario di numerose società odontostomatologiche ; Ha tenuto Conferenze e Corsi in Australia, Brasile, Francia, Germania, Giappone, Grecia, Italia, Spagna, Svizzera ; già Presidente Associazione Nazionale Dentisti Italiani per la provincia di Trento (2 mandati) ; Iscrizione albo Ordine dei Medici ed Odontoiatri di Trento ; Perito del Tribunale di Trento.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4.1.2. Laura Lo Bello
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4.2. Maria Daniela Lo Bello
° 1957 [photo ci-contre]
Dirigente Partito Democratico ; ex Assessore Territorio e Ambiente Regione Siciliana
x Dr. Andrea Avoni
Medico Specialista Odontostomatologia.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4.2.1. Marghi Avoni
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4.2.2. Ruggero Avoni
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4.3. Maria Eugenia Lo Bello
° 1959
Avvocato/praticante a Trento
x Nicola Stolfi [photo ci-contre]
Avocat
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.2.4.3.1. Pietro Stolfi
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.3. Conrad Ortholf Freiherr Craigher von Jachelutta
° 7.6.1897 Cividale
Der Spiegel 31/1966 :
Daß er nicht ungehört bleibt, dafür sorgt der Baron Conrad Ortholf Theodor Craigher von Jachelutta, auch « Maler der Könige » geheißen, vermöge 300 Pinsel, eines elektrischen Haartrockners (Vorkehrung gegen unerwünschtes Verlaufen von Aquarellfarben) und eines Cadillac, Baujahr 1955, mit antik eingerichtetem Wohnanhänger.
« Porträtmalen », sagt der Baron, mir seine Werke präsentierend, « heißt : das Schlechte weglassen und das Gute herausfinden. » Wohin ich auch blicke – naturgetreue Elite. Die Herren schauen drein, als hätte der Abbildner sie beim Konzipieren edler Gedanken, nach einer Reiterattacke oder bei der Verleihung des Nobelpreises ertappt. Die älteren Damen scheinen soeben eine hochherzige Stiftung gemacht, die jüngeren ein Kompliment empfangen zu haben (« Ich hätte Durchlaucht allerhöchstens auf 35 geschätzt »). Die Kinder stellen große, meist blaue Augen, in denen kein Ungehorsam 
wohnt, und linear gezogene Scheitel zur Schau.
Craigher : « Gekrönte Häupter müssen schön frisiert sein ; ich mag das natürlich nicht, da geht Genialität verloren. » Sogar ein Zugeständnis an die Moderne bekomme ich zu Gesicht : « Da hab’ ich auf Wunsch ein bisserl gekleckst, aber nicht das Gesicht, nur das Kleid. » Leider kann Baron Craigher nicht alle Mehrarbeit in Rechnung stellen : « Es kostet weniger Mühe ; eine intelligente garstige Frau zu malen als eine schöne blöde. » Dafür wird er zuweilen durch die Möglichkeit entschädigt, « innerlich zu lachen »; dann nämlich, « wenn eine sagt, sie möchte so gemalt werden, wie sie wirklich ist ».
Hätte er diesen Wunsch jener Großherzogin, die ich da vor mir sehe, berücksichtigt, würde die Dame, statt Güte, die Spuren ihrer verpfuschten Ehe auf den Zügen tragen. Als ich mich beim Abschied vom Sofa erhebe, merke ich, daß ich versehentlich auf der ungerahmten Ex-Königin Geraldine von Albanien (ganze Figur) gesessen habe ; Anlaß auch für einen Republikaner, sich zu schämen.
x (a) 12.2.1951 Alexandrie (Egypte) Helga-Anna von Hirsch
° 18.4.1910 Angermünde + 24.4.1954 Dornach (Suisse)
x (b) 3.12.1965 Gauting bei München Christine Metzenmacher
° 4.11.1925 Dresden
Kosmetikerin
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.3.(b).1. Gabriela Yädike Craigher von Jachelutta
x Dr. Rainer Fuchs 
Nach seinem Studium der Physik an der Universität Konstanz sowie Promotion und Zweitstudium (Industrial Engineering) an der ETH Zürich arbeitete Rainer Fuchs als Entwicklungsingenieur und Product Manager unter anderem bei Mettler-Toledo Prozessanalytik. Nach einem mehrjährigen Ausflug in die Strategieberatung kehrte er wieder in die Schweizer Anlagenindustrie zurück, wo er beim Laborrobotikhersteller Tecan verschiedene Positionen bekleidete (Leiter Product Management, Leiter Innovation Management, Leitung Business Unit Diagnostik). Seit August 2012 leitet er das Product Management Center der ZHAW.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.3.(b).1.1. Konstanze Fuchs
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.3.(b).1.2. Valérie Fuchs
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.3.(b).2. Carola Craigher von Jachelutta
Danseuse et chorégraphe sous le nom de Carola von Herder.
x NN von Herder
Die in München geborene Tänzerin und Choreographin genoss während, sowohl als nach ihrer Schulausbildung in Deutschland, Amerika und Frankreich (einjähriges Scholaschip in Amerika mit ASSIST, Abschluss Baccalaureat Franco-Almand in Paris) eine volle klassische sowohl als moderne Tanzausbildung (Ballett Akademie München, Martha Graham School New York, LCDT London-the London Contemporary Dance Theatre). Sie studeirte an der Münchner Maximilan Universität und London University, wo sie einen Bachelor of Arts in Geschichte und Philosophie erhielt. Sie spricht fünf Sprachen. Sie tanzte und choreographierte in England, Deutschland, Frankreich, USA, Spanien und der Ukraine und choreographierte 18 abendfüllende Aufführungen. Davon arbeitete sie als Tänzer und Choreograph über 10 Jahre in England in London und Lancashire, ebenso fast 10 Jahre in Odessa am schwarzen Meer.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.3.(b).2.1. Olivier von Herder
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.3.3.(b).2.2. Pearl von Herder [photo ci-contre]
Dolmetscher for Russian, German and Englisch
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.4. Mathilde Marie Constance Freiin von Flotow
° 26.9.1872 Görz (Krain) + 8.9.1933 Givisier (Fribourg)
Artiste-peintre, portraitiste, dame de l’Ordre de Thérèse en Bavière
x 23.1.1913 Vatican (chapelle Pauline) Jules Maxime Repond
° 11.6.1853 Fribourg + 8.6.1933 Rome
Il est avocat en 1880, professeur de droit romain, écrivain, journaliste, personnalité politique et militaire suisse. Il est élu député du District de la Gruyère auprès du Grand Conseil du Canton de Fribourg en 1882, son opposition lui vaudra de perdre sa clientèle, ainsi que sa place à l’Université. Président du Club Alpin Suisse en 1907, il a également fondé à Belfaux, où il réside, la première Caisse Raiffeisen du canton de Fribourg.
Le pape Pie X le choisit comme commandant de la Garde Suisse Pontificale en 1910, en remplacement du commandant Leopold Meyer von Schauensee. C’est en 1914 qu’il élabore l’uniforme officiel des hallebardiers en s’inspirant des modèles de la Renaissance présents sur des fresques de Raphaël. Des couleurs utilisées, le bleu et le jaune étaient celles de la famille della Rovere à laquelle appartenait Jules II, tandis que le rouge a été ajouté par son successeur Léon X, un Médicis. Par la suite, une légende récente attribuera le dessin de cet uniforme à Michel-Ange. Jules Repond restera en poste au Vatican jusqu’en 1921 et mourut en 1933.
Jules Repond et son épouse Marie von Flotow en 1913 à Chenaleyres
Quand le colonel Jules Repond a acheté la propriété de Chenaleyres le 11 février 1905, la chapelle, quoique en mauvais état, était une des parties les mieux conservées du domaine. Très pieux, le nouveau propriétaire appréciait le séjour à Chenaleyres « quand on réussit à obtenir un desservant pour y dire la messe le dimanche ». Il a paré la chapelle en 1909 d’une belle statue de vierge à l’enfant du XVIIIe siècle dans la tradition de Pancrace Reyff.
Jusqu’en 1916, les trois grands cadres style régence sur la paroi derrière l’autel contenaient trois tableaux du début du XVIIIe siècle d’un peintre baroque inconnu. Des oeuvres peintes par l’épouse de Jules Repond ont remplacé ces toiles d’origine. A gauche on retrouve un portrait du fils du Colonel, Séverin Repond, en Saint Jean Baptiste, au milieu, une Sainte Famille avec le Colonel Repond à droite, sa femme Mathilde, née de Flotow, à gauche, sa fille Praxède en enfant Jésus et une jeune fille en Marie.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.4.1. Marie-Praxède Repond
° 17.6.1914 Vatican + 14.1.1997 Berne
x 6.7.1940 Chenaleyres Franz-August de Steiger
° 1.4.1909 Berne + 14.1.1984 Berne
Docteur en droit, chevalier de Saint-Jean ; fils de Kurt Hermann Steiger & Anna Margaretha Rodt.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.4.1.1. François Louis Albert de Steiger
° 25.1.1942 Berne + 29.11.1997 Autafond
Avocat
x (a) 19.10.1968 Thoune (div 1982) Anne-Marie Gerber
° 2.12.1945
x (b) (div 1995) Anna Dobrowski
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.4.1.1.(a).1. Catherine Nadia de Steiger
° 11.3.1971 Fribourg [photo ci-contre]
A étudié à Université de Lausanne
x NN (div)
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.4.1.1.(a).2. Adrien Fréderic de Steiger
° 9.9.1973 Fribourg
x Anne Solioz
° 29.4.1975
Syndic de la commune d’Autafond depuis 2005 ; titulaire du brevet d’avocat, d’un master en droit de l’université de Fribourg et d’un certificat en gestion des ressources humaines de l’université de Genève. Quinze années d’expérience en droit du travail et dans la GRH, tant dans le public que dans le privé. Auteur de : « Autafond et ses hameaux : des origines à nos jours » (2014).
Adrien de Steiger pose devant le « château » de Chenaleyres
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.4.1.2. Marguerite Mathilde Praxède de Steiger
° 9.11.1943 Chenaleyres (Fribourg) + 23.10.2016
Restauratrice de peinture à Genève.
1.1.5.(b).11.2.7.1.3.4.2. Séverin Théodor Repond
° 13.6.1917 Vatican + 18.4.1937 Teruel (Espagne)
Membre de la Légion Etrangère du général Franco.
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