1.5.8. Clémentine de Bode – Illustrated Descendancy

1.1.5.(b).11.2.10. baronne Clémentine Dorothée Marie Anne de Bode
° 24.11.1789 Soultz bap. 28.11.1789 par le curé Jean Léonard Schlosser ;  + 16.5.1865 Munich « auf dem südlichen Friedhof in einem von der Prinzessin Adelgunde gestifteten Grab beigesetzt » ; parrain et marraine : Clément Joseph Philippe Baron de Bode & Dorothée Sneyd, soeur aînée de Mary de Bode.

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Extraits de « Schicksal einer Sulzerin – Clémentine de Bode (1789-1865) » par Jean-Claude Streicher :

Clémentine Dorothée Marie est la dernière des trois filles survivantes de la baronne de Bode et la seule survivante des deux filles qu’elle eut à Soultz-sous-Forêts. Elle y naquit le 24 novembre 1789, quand le nouveau château que ses parents se sont construit dans l’enclos de la saline était à peine commencé. Le curé Jean Léonard Schlosser la baptisa le 28 en l’église simultanée Sts-Pierre-et-Paul [illustration ci-dessous] de la localité. Dans le registre baptismal qu’elle signa, la baronne tint à rappeler qu’elle était toujours de confession anglicane et gouvernante (« gubernatris ») de la princesse régnante de Nassau-Sarrebrücken, dont elle avait pourtant quitté le service en 1782.

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Clem, son fils aîné, 12 ans, fut choisi pour parrain. Et comme marraine, ce fut Dorothée, la soeur aînée de la baronne, épouse de Jean Sneyd, seigneur de Belmont dans le Staffordshire, que représenta Marie, la fille aînée de la baronne, alors âgée sept ans et demi. Clem et Marie ont signé à l’allemande « von Bode ». Marianne Sneyd, la fille de la marraine, contresigna comme témoin (« testis »).
(…) Mais comme le séjour de Soultz devenait de plus en plus incertain, la baronne partit deux mois plus tard, au début du mois d’août 1791, se mettre en sécurité dans le margraviat de Bade, à Gernsbach, sur la rive droite du Rhin, avec ses cinq plus jeunes enfants : Emilie, Clémentine, Frédérique, Louis-Léon et Félix. Clémentine sera ainsi la dernière-née, sur huit enfants survivants, et n’aura finalement vécu à Soultz qu’un peu plus de vingt mois. A Gernsbach, elle put loger avec sa mère et ses quatre plus jeunes frères et soeurs jusqu’à la fin du mois de décembre 1792, dans le centre du bourg, dans la maison dite « Ebersteinscher Hof » [illustration ci-dessous de gauche], que le grand bailli badois Joseph von Lassolaye avait bien voulu leur libérer. Puis la baronne rapatria sa couvée dans la maison du sonneur de cloches [illustration ci-dessous de droite] de l’église St-Jean de Wissembourg, que le baron avait trouvée à louer pour mettre les siens à l’abri des nouveaux décrets contre les émigrés.

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(…) L’émigration de leurs parents ayant été constatée par le district de Wissembourg, Clémentine et ses quatre frères et soeurs seront « décrétés appartenir à la Nation ». Mais concrètement, rien ne changea pour eux dans l’immédiat. Ils restaient sous la garde de leurs gouvernantes dans la maison du sonneur de cloches, jusqu’à ce que, par arrangement de leur mère, le prince de Salm-Kyrbourg, qui commandait un régiment de hussards dans l’armée du prince de Condé, vienne les prendre sous sa protection. Ce qui eut lieu dans l’après-midi du 13 octobre 1793, lors de la prise de Wissembourg par les Autrichiens et les Condéens.

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En Russie …

Elle put alors placer Clémentine dans l’Institution des Demoiselles nobles, fondée en 1764 par Catherine II au couvent de la Résurrection de Smolny [illustration ci-dessous], près de la capitale tsariste. Cette institution accueillait quelque 300 jeunes filles nobles pauvres et autant de jeunes filles de la bourgeoisie.

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Les Demoiselles nobles y étaient réparties en trois classes, qui duraient chacune trois années. Chacune de ces classes avait son costume de couleur : brun pour la première, bleu pour la seconde, et vert pour la dernière. Mais lors de leur présentation à la cour, aux ministres et au corps diplomatique, toutes les élèves étaient en bleu, avec un ruban de la couleur de leur classe. Elles apprenaient le russe, le français et l’allemand, l’écriture, l’arithmétique, la musique vocale et instrumentale, la géographie, le dessin, la danse, le théâtre et s’exerçaient à tous les ouvrages de goût.
Capture d_écran 2017-06-30 à 10.27.38Clémentine, qui était alors dans sa 10e année, y resta a priori neuf ans, sans pouvoir en sortir. La séparation d’avec sa mère a été très douloureuse. Mais elle se fit assez rapidement à son nouvel univers, s’étant d’emblée liée avec la petite princesse Revel de Broglie (Alexandrine dite Simplicie princesse de Broglie-Revel), de deux ans son aînée et qui était entrée au couvent à peu près en même temps qu’elle. C’était une petite-fille du duc Victor François de Broglie, maréchal de France (1718-1804) [illustra-tion ci-contre], que Louis XVI avait pris comme secrétaire d’Etat à la guerre le 11 juillet 1789, mais qui émigra cinq jours plus tard, suite au rappel de Necker, pour finalement s’installer en Russie en 1797.
Etant veuve, la mère de la petite princesse avait obtenu un appartement dans le couvent même, de sorte que, rapporte la baronne dans ses mémoires, « Clémentine était chez elle tous les instants qu’elle ne passait pas en classe ». Cette dame l’appelait sa seconde fille. « Elle lui donna les mêmes leçons maternelles et avança ses études en musique et dessin, car elle possédait elle-même ces talents. Le caractère facile de ma chère Clémentine, ajoute la baronne, et l’émulation ardente qu’elle apportait à profiter de ses leçons en faisait la favorite de toutes celles sous les soins desquels elle était placée ».
Puis le 23 mai 1816, à l’âge de 27 ans tout de même, Clémentine de Bode épousa à St-Pétersbourg Franz de Livio, 28 ans, qui représentait alors dans la capitale tsariste la maison de banque fondée à Strasbourg par son père, Ignace Etienne de Livio, que le roi de Bavière avait anobli le 2 juin 1814. Mais Clémentine eut juste le temps de lui donner une fille Marie, née à St-Pétersbourg le 21 juin 1817, car Franz décéda à Smolensk le 9 mai 1818. Veuve à 29 ans, elle voyagea quelque temps en Allemagne pour se distraire, puis visita sa belle-famille à Strasbourg, qui habitait alors 8, rue du Dôme, dans l’ancien hôtel du prince Charles Joseph de Hohenlohe-Waldenbourg, hôtel [illustration ci-dessous] ensuite devenu le siège de la Sogénal, et depuis 2007 celui d’une école de gestion privée.

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(…) Brève tentative pour la saline : Quand Clémentine fit son apparition à Strasbourg fin 1818, son frère aîné Clément s’était efforcé depuis quatre ans d’obtenir que les biens paternels confisqués sous la Révolution et non encore vendus par l’Etat lui soit restitués au titre de la loi du 5 décembre 1814.
 (…) Lors de son séjour strasbourgeois, Clémentine crut devoir reprendre le fil de ces démarches, mais par un angle d’attaque plus familial. Le 16 janvier 1819, elle écrit ainsi au préfet du Bas-Rhin, « en sa qualité d’héritière de feu M. Le baron de Bode, son père et de son vivant seigneur de Soultz-sous-Forêts, mort comme émigré en Russie », pour demander, « au nom de ses frères et soeurs demeurant encore en Russie à être mise en possession de ses biens non vendus ». Au nombre des anciens biens paternels, elle énumérait « la saline et ses dépendances, la mine de charbon, celle d’asphalte et de poix, le tout près ladite saline, comme aussi le bien dit Zig-Zag » [illustration ci-dessous : aspects d’époque] ainsi que la maison de Bergzabern.

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Villa Zig-Zag – aspect actuel

 

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Gasthof « Zum Engel » à Bad Bergzabern

A l’inverse de Clément, elle oubliait les propriétés agricoles que le baron avait obtenues comme seigneur de Soultz et qui n’étaient pas toutes revendues. Par contre, elle revendiquait les deux maisons de Bergzabern revendues depuis longtemps, ainsi que les mines de Lobsann, en contradiction avec l’arrangement conclu avec Rosentritt. Ce qui pourrait vouloir dire que sa réclamation a été formulée sans véritable concertation avec son frère (alors absent de Strasbourg bien entendu) et Me Fargès-Méricourt. En tout cas, dans un premier temps, elle demandait au préfet la copie collationnée des aliénations déjà faites et dont les archives de la préfecture ont conservé la trace.
L’affaire ne traîna pas. Dès le 20 janvier suivant, le secrétariat du préfet renvoyait cette requête au directeur des domaines, en le priant de lui présenter un état « de toutes les aliénations de domaines appartenant autrefois à M. de Bode, qui ont eu lieu pendant son émigration ». Mais huit jours plus tard, le préfet demandait au même directeur de ne pas donner suite, M. de Livio ayant fait savoir qu’elle y renonçait. Le 9 février suivant, le dit directeur des domaines retournait donc sa pétition au préfet. De ce jour, Clémentine ne s’occupa donc plus de la restitution de la saline, laissant Clément reprendre l’initiative avec des actes de notoriété tendant à prouver cette fois que son père l’avait bel et bien désigné comme seul héritier dès avant son émigration.

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Après dix années de pérégrinations, Clémentine réussit finalement à être nommée par Louis Ier de Bavière le 24 août 1829 « Hofmeisterin » à la cour de Munich, en charge de la princesse royale Adelgonde [illustration ci-dessous de droite], sa fille aînée.

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Am 24.8.1829 unterschrieb König Ludwig I. von Bayern [illustration ci-dessus de gauche] in Bad Brückenau, wo er zur Kur weilte, folgendes Ernennungsdekret :

« Ludwig, von Gottes Gnaden König von Bayern usw. … Wir ernennen die Frau Clementine von Livio-Boemer geborene Freyin von Bode zur Hofmeisterin Unserer königlichen Prinzessin Adelgunde [illustration ci-dessous de droite] mit einem am 1. Junius dieses jahres beginnenden Gehalte von Eintausend Gulden und unter folgenden Bedingungen :

– Wenn dieselbe in der Folge auch die Erziehung unserer königlichen Prinzessin Hildegard übernimmt, so wird ihr Gehalt auf eintausendfünfhundert Gulden erhöht;
– Vollendet dieselbe die Erziehung beyder königlichen Prinzessinnen, so erhält solche eine lebenslängliche Pension von eintausendzweyhundert Gulden jährlich ;
– Sollte aber dieselbe durch ihre Gesundheit verhindert werden, die Erziehung zu vollenden, so mindert sich diese Pension um ebensoviele hundert Gulden, als noch jahre zur Vollendung der Erziehung abgehen.
– Während ihrer Dienstleistung hat dieselbe Tafel, Wohnung usw. unentgeltlich mit Unseren königlichen Prinzessinnen, welche ihr anvertraut sind, zu geniessen.
– Hierüber haben wir derselben die gegenwârtige Urkunde zu ihrer Legitimation ausgefertigt.« 
                                                                                                                                                               Bad Brückenau, den 24. Aug. 1829 Ludwig

Mit dem Abschluss der Ausbildung der Princessin Adelgunde im Jahre 1840 war die Tätigkeit Clementines am Königshof beendet, so dass sie sich zu ihren Kindern nach Weng zurückziehen konnte. Die Prinzessin Adelgunde aber ging 2 Jahre später die Ehe mit dem Erzherzog Franz von Österreich ein. Als « Herzogin von Modena » hat sie ein hohes Alter erreicht und bewahrte bis zu ihrem Tode im Jahre 1911 ein äusserst herzliches Verhältnis zu ihrer Erzieherin und deren Familie, wovon zahlreiche Briefe aus ihrer Hand ein liebenswürdiges Zeugnis ablegen.

Historique dressé par Constantin Dichtel  [1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.1.] « Wandersschicksale der Familien Livio und Bode »  :Capture d_écran 2017-09-25 à 11.09.28Veuve deux ans après son mariage, Clémentine devient en 1829 gouvernante d’Adelgunde de Bavière (1823-1914). On remarque qu’elle sera également préceptrice de l’archiduchesse Marie-Thérèse d’Autriche (1831-1903), future épouse en 1868 de Louis III, dernier roi de Bavière.
Cette information ressort de la mise en vente sur Internet d’un exemplaire du livre de prières « Die Ruhe in Gott » ayant appartenu à Clémentine qui l’aurait ensuite légué à l’archiduchesse. Si pour l’instant on ne trouve aucune trace de la présence de Clémentine auprès de l’archiduchesse, on peut estimer qu’elle aura occupé sa fonction durant la période 1855-1865.

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Cfr le texte expliquatif :

Der Band entstammt dem Privatbesitz der letzten Königin von Bayern, Marie Therese von Österreich Este (1849-1919). Er enthält auf einem der Vortitelblätter einen knapp einseitigen handschriftlichen Text der späteren Königin aus dem Jahre 1865, den diese anläßlich des Todes ihrer ehemaligen Erzieherin Clementine von Livio, geb. Freiin von Bode verfaßte :

« Von meiner lieben selg. Frau von Livio, sie leitete meine Erziehung während 10 Jahre, der liebe Gott vergelte ihr alles Gute, was ich ihr verdanke, ererbtes Gebetbuch, aus dem sie noch in ihrer letzten Krankheit betete. Clementine v. Livio, geb. Freyin von Bode verschied in ihrem 76. Jahr am 16. May 1865 in München. »

ca 1860

l’archiduchesse Marie-Thérèse vers 1860

Ein Nachsatzblatt enthält ebenfalls einen handschriftlichen Eintrag (in französischer Sprache) von 1860, die Verfasserschaft ist hier aber ungeklärt.

x 23.5.1816 Saint-Pétersbourg Frans Stephan von Livio
° 25.4.1788 Strasbourg + 9.5.1818 Narva buried Smolensk-Friedhof in St. Petersburg

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Frans von Livio est le premier jeune homme à gauche

Banquier de la Cour de Russie, anobli le 28.2.1814 par le Roi de Bavière. Fils de Ignaz Capture d_écran 2017-09-24 à 18.26.51Stephan von Livio, banquier et maire de Strasbourg et de Elisabeth Domenica Livio, représenté ci-dessus avec sa famille sur un tableau de Monique Daniche (1736-1824), exécuté en 1801 et exposé au musée historique de Strasbourg.

Dans ses souvenirs intitulés « Denkwürdigkeiten », relatant ses faits et gestes durant les guerres napoléoniennes, le margrave Wilhelm de Bade (1792-1859) [illustration ci-contre] sera le témoin occasionnel des fiançailles du jeune Franz von Livio : 

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1.1.5.(b).11.2.10.1. Marie Elizabeth Charlotte de Livio
° 21.6.1817 Saint-Pétersbourg + 23.7.1854 LandshutCapture d_écran 2017-09-25 à 12.42.10

x 14.5.1836 Eichstadt Ernst Joseph Johan Nepomuch Felix Freiherr von Kramer
° 19.2.1806 Burweinting-près-Regensburg + 29.5.1846 Landshut

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Nach einer Elfenbeinminiatur von Franz Napoleon Heigel im Stadtmuseum von München

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1.1.5.(b).11.2.10.1.1. Amélie Clementine Maria Johanna Freiin von Kramer
° 3.5.1837 Weng + 2.9.1914 Munich amélie

x 1.5.1866 München Fréderic Dichtel
° 17.3.1820 Ansbach + 3.5.1888 Munich
Colonel aux armées royales de Bavière.

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.1. Olga Dichtel
° 4.12.1869 Nuremberg + 14.4.1919 Munich (sp)

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2. Constantin Dichtel
° 8.9.1871 Amberg + 23.2.1957 Grafelfing
Colonel (11e Feldartilleriekrieg von Bayern).
x 4.11.1901 Bamberg Marie Maier
° 27.2.1880 Bamberg

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.1. Constantin Dichtel
° 31.8.1902 Erlangen + 30.5.1975
War von 1958-1975 Landesvorsitzender des BLF (Bayerischer Landesverein für Familienkunde).Constantin Dichtel (gest. 1975)

x 20.4.1933 München Renata von Lochner von Hüttenbach [armoiries ci-contre]
Capture d_écran 2017-09-25 à 12.08.54° 17.2.1914 Bad Kissingen + 2007
Bad Kissingen (2012) : « Als das Rathaus noch ein Schloss war » : Vor 25 Jahren hielt Renate Dichtel einen Vortrag über ihre Familie, die 210 Jahre im heutigen Bad Kissinger Rathaus gelebt hat. Jetzt hat ihr Sohn Benno den Text mit vielen Bildern und Hintergrund-informationen herausgegeben.
Da hatte Alt-Oberbürgermeister Georg Straus vor 25 Jahren schon Recht : « Nicht einmal alteingesessene Kissinger sind sich bewusst, dass ihr historisches Rathaus ja eigentlich das Neue Rathaus ist und, vor allem, dass es bis 1927 noch von der Familie Lochner von Hüttenbach bewohnt worden war.
Also lud er damals Renate Dichtel zu einem Vortrag über das Leben im Schloss ein. Sie war die Tochter von Karl Lochner von Hüttenbach und hatte die ersten 13 Jahre ihres Lebens in dem Schloss verbracht. Dann starb der Vater, und die Familie verkaufte das Schloss an die Stadt und zog nach München. Jetzt hat ihr Sohn Benno Dichtel das nachgeholt und hat – mit familiärer Unterstützung – herausgebracht, angereichert mit vielen Bildern der Vorfahren und vom Innenleben des Schlosses [illustration ci-dessous] und mit weiteren Hintergrundinformationen. »

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1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.1.1. Karin Sybille Dichtel
° 5.7.1937 Berlin

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.1.2. Gabriela Erica Dichtel
° 5.3.1943 Munich
x 1.10.1966 Munich Hans Sauer
Capture d_écran 2017-09-25 à 12.09.16° 10.9.1940 Valence

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.1.3. Benno Dichtel [photo ci-contre]
° 26.9.1945 Munich
x 13.4.1971 Renata Sauer

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.2. Helmut Dichtel
° 22.9.1903 Erlangen
x 11.5.1931 Munich Theodora Robertz
° 7.2.1907 Cologne
Fille du conseiller de justice François Robertz et de Marie Zilliken.

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.2.1. Franz Helmut Dichtel
° 28.2.1933 Munich
x 21.8.1960 Stuttgart Godula Binder

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.2.2. Rüdiger Dichtel
° 15.5.1940
x Stuttgart Hannelone Wolf

Capture d_écran 2017-09-25 à 12.09.271.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.2.3. Christine Dichtel
° 15.12.1941 Korntal
x 28.5.1965 Lemberg Manfred Seufert

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.3. Margot Dichtel
° 9.11.1908 Furth + 3.3.1996 Gräfelfing
x 26.7.1935 Munich Wolf Gustav Ernst Freiherr von Lepel
° 19.1.1904 Vienne + 24.1.1988 Gräfelfing
Fils de Viktor Ferdinand Friedrich Baron von Lepel & Elisabeth Baroness von Mühlen.

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.3.1. Eleonore Elisabeth Maria Freiin von Lepel
° 2.6.1935 Schwabach
x 1965 Grafelfing Hans Peter Braun

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.3.2. Volker Constantin Freiherr von Lepel
° 17.11.1938 Ulm
x (a) 22.12.1964 Gräfeling Almuth Waltraud Barbara Luise Kerber
° 19.2.1943
x (b) Herta Margrit Hahn
° 9.8.1937

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.3.2.(a).1. Henning Andreas Volker Freiherr von Lepel
° 10.12.1966 Erlangen
Technical Project Manager at W.L. Gore & Associates GmbH, München und Umgebung.

Capture d_écran 2017-09-25 à 12.09.37

x 22.10.1998 Irene Pellkofer
° 13.02.1970 + 16.9.2017

Capture d_écran 2017-11-18 à 12.35.05

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.3.2.(a).1.1. Leandra Leonie Freiin von Lepel
° 26.07.2000 Bad Tölz

Capture d_écran 2017-09-25 à 14.16.01
1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.3.2.(a).1.2. Simeon Lukas Freiherr von Lepel
° 13.4.2002

1.1.5.(b).11.2.10.1.1.2.3.2.(a).2. Andreas Ralph Stephan Freiherr von Lepel
° 5.5.1969 Landshut
Dipl.-Ing. Univ. CTO / Leitung App-Entwicklung Verlag Friedrich Oetinger GmbH.

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1.1.5.(b).11.2.10.1.2. Maximilian Ernst Franz Freiherr von Kramer
° 31.10.1840 Weng + 5.12.1916 Munich
Kgl. bayer. Km. und Ohofmeister a. D.

maximilian 1840
x 22.2.1870 Venise Comtesse Béatrice Zénone de Castelceriolo
° 10.7.1838 Kuttenberg (Bohème) + 4.8.1911 Munich

1.1.5.(b).11.2.10.1.2.1. Henriette Freiin von Kramer
° 24.5.1872 Munich + 31.7.1923 Munich (sp)

1.1.5.(b).11.2.10.1.2.2. Otto Ernst Maximilian Anton Nepomuk Freiherr von Kramer
° 31.10.1873 Venise + 24.12.1951 Munich
Kgl. bayer. Km. und Oberstlt. a. D., Vorstand der Vermögensverwaltung d. Pr. Karl v. Bayern, MagRr. d. souv. MaltRrO.

otto

1.1.5.(b).11.2.10.1.2.3. Maximilian Freiherr von Kramer
° 12.5.1879 Venise + 22.2.1944 Vienne
x 25.9.1911 Munich Elisabeth Worthmann [illustration ci-dessous]
° 9.9.1876 Aachen + 31.1.1953 Garmisch-Partenkirschen
T. d. Kgl. preuss. Hpt. z. D. Eduard W. und d. Alwine Trittau.

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1.1.5.(b).11.2.10.1.3. Sigismond Freiherr von Kramer
Capture d_écran 2017-09-25 à 15.44.28° 13.2.1842 Landshut + 15.3.1910 Munich
Kreisdirektor (administrateur civil) du Landkreis Château-Salins en 1882. En 1898, le baron von Kramer, maire de Metz 9 août 1895 au 29 octobre 1901, obtient de l’empereur Guillaume II la possibilité d’étendre la ville au-delà des fortification de Cormontaigne en empiétant sur les terrains militaires. Les fortifications de Cormontaigne, devenues inutiles, sont détruites, à l’exception de trois portes emblématiques, la tour Camoufle, la porte Serpenoise et la porte des Allemands. Conscient de l’importance de notre héritage, les autorités allemandes ont toujours eu soin de protéger et de mettre en valeur le patrimoine mosellan. De nombreuses restaurations furent entreprises pendant l’annexion allemande, sauvant de la ruine ou de la destruction de nombreux vestiges mosellans.

sigmund1sigmund2
x 1.9.1870 Ansbach baronne Adèle de Messina
° 19.1.1849 Ansbach + 30.4.1922 Munich

1.1.5.(b).11.2.10.1.3.1. Marie Freiin von Kramer
° 3.11.1871 Château Salins + 7.7.1898 Metz

1.1.5.(b).11.2.10.1.4. Adelgonde Freiin von Kramer
° 29.5.1843 Landshut + 11.3.1901 Munich Adelgunde

x Amberg 19.4.1873 Germain Nurnberger
° 28.6.1837 Furth + 30.10.1919
Colonel dans l’armée bavaroise.

1.1.5.(b).11.2.10.1.5. Ernst Freiherr von Kramer
° 27.4.1846 Landshut + 21.12.1870 Rambouillet (en action de guerre) (sp)Ernst

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Alter Südfriedhof – München

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